GEEKKECH

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Technicien spécialisé en systèmes informatique et réseau, je suis Electronicien et programmeur.

mardi 9 juin 2015

Le service de cartographie de Google essai d'être le bon ami de tout le monde.

Soucieux des législations locales, google map essai de prendre au sérieux les conflits politiques entre ceux qui militent pour l'intégrité territoriale et les séparatistes, en adaptant leur ressources cartographiques en fonction des pays.


Le deal gagnant-gagnant ...



Problèmes des frontières de la Crimée et celle du Sahara Marocaine, Les noms des ilots Diaoyu en mandarin et Senkaku en Japonais,  d'autres archipels entre Chine, Taiwann Philipines, Malaisie, Brunei, Indonésie et Vietnam, aussi la région du Cachemire entre le Pakistan et l'inde, L'Arunachal Pradesh entre l'inde et la Chine...

 les lois en chine interdisant la publication des ressources cartographiques du territoire sans autorisation ou sans passer par des fournisseurs locaux.


Vu dans le web :

... et quand Maps exauce le roi du Maroc

Le Maroc célébrera en novembre les 40 ans de la "Marche verte", grande marche d'annexion "pacifique" lancée vers le Sahara occidental en 1975 par le roi Hassan II, qui avait sollicité 350.000 volontaires civils portant chacun un Coran et un drapeau marocain. A première vue, du sable. Sauf que la zone regorge de phosphate, une ressource controversée qui représenterait pas moins de 6% du PIB national.
Or les prétentions marocaines sur le Sahara occidental, simple "territoire non-autonome" selon l'ONU et berceau de l'indépendantisme sahraoui, ne sont reconnues par aucun autre pays... Ni par Google Maps qui, de façon peu attaquable pour le coup, agrémente la zone de pointillés (ci-dessous). L'application a d'ailleurs longtemps été inaccessible par le biais du principal opérateur national Maroc Telecom, qui s'en expliquait par un "problème technique".


Ces dernières années, de nombreux internautes marocains prenaient ombrage de la décision des cartographes de Google. On trouve ainsi sur YouTube une vidéo réalisée par un développeur web, qui montre comment, dans un tutoriel d’un quart d’heure (en arabe), modifier le script de la page de Google Maps pour "hacker" et faire disparaître les pointillés maudits.
Sur le site Avaaz, un collectif nommé "La marche verte numérique" a même lancé une "pétition pour la correction de la carte du Maroc sur Google Maps" en vue du 40e anniversaire de l'annexion... qui n’a recueilli que 13.000 signatures en l’espace de deux ans. De nombreux internautes,comme ces deux jeunes Marocains, ont aussi directement contacté Google en envoyant un message dans la fenêtre "Signaler un problème" de Maps.
Il n'en fallait peut-être pas plus pour émouvoir le mastodonte du web. Sans qu'il ne soit possible de le vérifier depuis la France, plusieurs sites marocains s'enthousiasment depuis plusieurs semaines que le Maroc apparaisse "avec son Sahara"... du moins sur place, et uniquement sur tablette et smartphone.
"Tous les Marocains expriment leur gratitude envers Google qui vient de rendre à César ce qui lui appartenait", se félicite l'auteur de ce site d'informatique. "Il semblerait que le Google est à l’écoute de ses clients, du moins pour les Marocains qui ont réclamé ce changement il y a bien des années", apprécie l'auteur d'un site d'actu high tech.
Le 6 novembre dernier, le roi du Maroc, Mohamed VI, martelait encore : "LSahara occidental restera dans le Maroc jusqu’à la fin des temps". Google l'a exaucé. Contre l'avis de l'ONU et de tous les gouvernements du monde.




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